Quelle est l’efficacité du traitement de la sclérose en plaques par les cellules souches ?
Depuis 2005, nous prodiguons des protocoles thérapeutiques complets dans lesquel des injections de cellules souches sont utilisées pour traiter les patients atteints de SEP; ceci permettant de surmonter les limites des thérapies conventionnelles. Dans nos protocoles, les cellules souches sont associées à des thérapies spécialisées pour la SEP qui visent non seulement à aider les personnes atteintes à faire face à leurs symptômes, mais aussi à traiter la cause directe des symptômes en favorisant la guérison des lésions cérébrales. Nous pensons que notre therapie par cellules souches pour la sclérose en plaques donne à nos patients de meilleures chances de progrés, pour une qualité de vie améliorée.
Les cellules souches peuvent-elles aider à traiter la sclérose en plaques ?
Il existe des médicaments qui peuvent tenter de ralentir le processus ou d’aider à gérer les symptômes en bloquant les réponses immunitaires, mais rien ne cible spécifiquement l’étrange réaction auto-immune à la gaine de myéline. Bien que ces médicaments soient utiles et apportent un soulagement et du temps aux personnes qui luttent contre la SEP, ils sont incapables de réparer les neurones endommagés ou d’inverser la maladie. La thérapie par cellules souches pour la SEP est une nouvelle forme de médecine régénérative qui a le potentiel de ralentir et, dans certains cas, d’inverser la progression de la maladie.
Nous utilisons des cellules souches mésenchymateuses (CSM), qui aident l’organisme à réguler le système immunitaire et peuvent aider l’organisme à empêcher le système immunitaire d’attaquer la gaine de myéline. Les cellules souches mésenchymateuses pourraient également contribuer à la myélinisation (régénération de la gaine de myéline) des neurones. De nombreuses études sont actuellement menées sur l’efficacité des CSM dans le traitement de la SEP, notamment à l’université de Cambridge. Grâce au traitement par cellules souches mésenchymateuses du cordon ombilical (UCMSC), nous avons constaté des améliorations chez bon nombre de nos patients. Au fur et à mesure que d’autres études seront publiées, nous espérons voir de nombreux autres patients s’améliorer.
Betty Helm a reçu une greffe de cellules souches du sang du cordon ombilical il y a trois ans dans la ville de Shenzhen, dans le sud du pays. Cette interview, réalisée en septembre 2010 aux États-Unis, nous permet de prendre des nouvelles de Betty.
Betty a été l’une des premières patientes internationales à recevoir des injections de cellules souches adultes immuno-négatives. Loin d’être confrontée à un désastre médical, Betty a survécu à l’aventure et pense que sa sclérose en plaques a reculé de plusieurs années.
Améliorations possibles après une thérapie par cellules souches pour la SEP
Certains articles publiés ont montré que les cellules souches mésenchymateuses (CSM) sont potentiellement bénéfiques pour la SEP en raison des mécanismes probables suivants :
- Les CSM exercent leurs fonctions immunomodulatrices sur de nombreuses cellules immunitaires, notamment les lymphocytes T, les lymphocytes B, les cellules NK et les cellules dendritiques (DC). D’une part, les CSM induisent une tolérance des lymphocytes T périphériques aux protéines de la myéline, réduisant ainsi la migration des lymphocytes T pathogènes vers le système nerveux central (SNC) et, d’autre part, elles se dirigent vers le SNC où elles préservent les axones et réduisent la démyélinisation.
- Les CSM peuvent protéger les axones et améliorer la survie des neurones, probablement par le biais d’effets anti-apoptotiques, d’effets antioxydants ou par la libération de facteurs trophiques.
- Les CSM peuvent induire une neurogenèse et une oligodendrogenèse endogènes.
- Les CSM peuvent diminuer la production de cytokines et de chimiokines pro-inflammatoires.
- Les CSM semblent également réduire la formation de cicatrices gliales qui représentent un obstacle majeur à la réparation spontanée.
Différents types d’amélioration sont possibles, mais non garantis, après notre traitement. Nos anciens patients ont constaté des améliorations dans les domaines suivants* :
- Amélioration de la fonction motrice
- Amélioration de la sensibilité
- Un meilleur équilibre
- Diminution de la spasticité
- Vision améliorée
- Diminution de la douleur neuropathique
- Réduction de la fatigue
- Diminution de l’occurrence des tremblements
- Amélioration de la fonction vésicale et intestinale
*Il est important de se rappeler que, comme pour tout traitement médical, des améliorations ne peuvent être garanties. Veuillez nous contacter pour plus d’informations sur les améliorations possibles dans un cas particulier.
Notre Programme Thérapeutique en Détails
Depuis 2005, nous développons et optimisons nos protocoles de traitement par cellules souches en partant du principe que seule une solution très complète peut permettre à nos patients de bénéficier réellement des cellules souches. Nous pensons que la stimulation par diverses thérapies est nécessaire pour améliorer la réponse régénérative des cellules souches, c’est pourquoi nos protocoles incluent des thérapies quotidiennes pour soutenir les cellules souches. Enfin, nous fournissons une grande variété et de grandes quantités de cellules souches afin de nous adapter à l’état spécifique de chaque patient et de maximiser le potentiel de régénération.
Notre programme de transplantation de cellules souches pour la sclérose en plaques consiste en 3 à 8 injections simples et peu invasives de cellules souches dérivées du cordon ombilical. Les cellules souches sont transplantées selon deux méthodes distinctes : par voie intraveineuse à l’aide d’un système de goutte-à-goutte IV standard, et par injection intrathécale réalisée après une ponction lombaire. Ces deux méthodes d’administration permettent d’accroître l’efficacité tout en garantissant la sécurité et un minimum d’inconvénients pour le patient. Vous trouverez ci-dessous plus d’informations sur chaque procédure :
- Séjour de 10 à 23 jours
- Injections Intraveineuses et Intrathécales
- Cellules UCBSC / UCMSC
- Programme de Thérapies Quotidiennes
- 120 à 400 millions de cellules prodiguées
- Programme Nutritionnel
Témoignages de Patients
En savoir plus sur les patients précédemment traités via les thérapies cellulaires de Beike. Les familles présentées dans ces articles s’expriment sur leur histoires respectives et donnent leur avis sur le traitement, évoquant les thérapies quotidiennes, les injections de cellules souches ainsi que les progrès remarqués pendant le traitement et après ce dernier.
Qualité et quantité de cellules souches assurées

Différents types de cellules souches pour différents besoins
Beike fournit des cellules souches provenant de deux sources distinctes : le sang de cordon ombilical et le tissu du cordon ombilical. Les échantillons liés au cordon ombilical sont donnés par des mères en bonne santé après des naissances normales et sont envoyés aux laboratoires de Beike Biotech pour traitement.
Après avoir examiné les détails médicaux du patient, nos médecins recommanderont la source de cellules souches la plus appropriée pour le traitement. Nos protocoles de traitement peuvent inclure un ou plusieurs types de cellules souches en combinaison en fonction de l’état spécifique de chaque patient.
Normes internationales les plus élevées en matière de traitement des cellules souches
Beike Biotechnology traite ses propres cellules souches adultes dans ses laboratoires accrédités au niveau international. Beike a une supervision totale sur la culture et le contrôle qualité des cellules souches produites, assurant un niveau sécurité et une qualité irréprochable.

Vidéos de Patients
Vous trouverez ci-dessous des interviews vidéo enregistrées pendant le traitement par les cellules souches de Beike. Les familles présentées dans ces vidéos parlent de leur histoire personnelle et de leur expérience du traitement, y compris des améliorations constatées.
Les améliorations mentionnées dans ces vidéos sont typiques, mais cela ne garantit pas que tous les patients puissent avoir les mêmes améliorations.
Pourquoi choisir Beike pour un traitement par cellules souches?
Expérience: Avec plus d’une décennie de pratique, vous êtes assuré d’être conseillé et traité par des professionnels compétents.
La sécurité : Soutenus par les accréditations des autorités nationales et internationales, nous nous engageons à fournir des cellules souches de la plus haute qualité possible pour votre bénéfice.
Diversité: Plusieurs types de cellules souches ayant des capacités différentes sont disponibles pour s’adapter à l’état spécifique de chaque patient. Nous n’utilisons pas le même type de cellules souches pour tous les patients.
Extensivité : Un programme complet de thérapie de soutien est fourni quotidiennement pour stimuler les cellules souches fraîchement transplantées du patient. La meilleure amélioration ne peut être obtenue qu’en soutenant vos cellules souches.
Soutien: Un programme de suivi complet est offert après le traitement et on vous demandera d’y participer 1, 3, 6 et 12 mois après le traitement. L’accès à notre équipe après le traitement est très important car vous pouvez recevoir d’autres conseils pour maximiser les améliorations.

Fondée en juillet 2005, Shenzhen Beike Biotechnology est une entreprise nationale de haute technologie spécialisée dans la transformation clinique et le service technique de la technologie de traitement biologique des industries émergentes stratégiques.
Obtenez plus d’informations maintenant
Questions fréquemment posées sur la SEP
Qu’est-ce que la sclérose en plaques et comment affecte-t-elle le patient ?
La sclérose en plaques est une maladie neurologique auto-immune et dégénérative qui affecte principalement des structures spécifiques situées dans le cerveau et la moelle épinière, appelées gaines de myéline. Ces structures tubulaires qui s’enroulent autour des axones des neurones sont responsables de la bonne conduction des impulsions électriques entre le soma du neurone et la terminaison de son axone. En bref, les gaines de myéline permettent à l’information de circuler correctement à l’intérieur du neurone.
La sclérose en plaques touche environ 2,3 millions de personnes dans le monde et les femmes sont deux fois plus touchées que les hommes. L’étiologie de la sclérose en plaques est encore inconnue ; on pense généralement que la maladie se développe chez les individus génétiquement prédisposés à la suite d’une réponse auto-immune dirigée contre les composants de la myéline. Des facteurs environnementaux tels que les virus, les bactéries, les produits chimiques et le manque d’exposition au soleil, ainsi que des prédispositions génétiques spécifiques, ont été supposés être à l’origine d’un dysfonctionnement immunitaire.
Que se passe-t-il si la maladie n’est pas traitée ?
La sclérose en plaques touche principalement les jeunes adultes et entraîne de graves déficiences physiques et cognitives. La SEP évolue de manière récurrente-rémittente (RR) chez 85 % des patients et de manière primaire progressive (PP) chez les 15 % restant. La plupart des patients atteints de sclérose en plaques récurrente-rémittente voient leur maladie évoluer vers le type secondaire progressif après un intervalle médian de 19 ans, avec des rechutes persistantes dans 40 % des cas. La nature dégénérative de la maladie fait que les patients perdent leur capacité à marcher de manière indépendante à un âge médian de 63 ans, tandis que 1 à 3 % des patients atteignent ce même niveau d’invalidité en quelques semaines ou quelques mois seulement. Les individus atteints de sclérose en plaques souffrent également de troubles visuels (perte de la vue, vision double), de perte de sensibilité, de problèmes d’élocution et de déglutition, de troubles de la fonction intestinale, vésicale et sexuelle, de fatigue extrême, de vertiges, de douleurs dans certaines parties du corps, etc.
Quels sont les traitements conventionnels actuels de la SEP et quelle est leur efficacité ?
La sclérose en plaques est actuellement incurable. La cause exacte de la maladie n’est pas connue à ce jour, et des facteurs génétiques aboutissant à une attaque auto-immune au niveau du cerveau et de la moelle épinière (système nerveux central) constituent généralement la théorie la plus acceptée. Cependant, les facteurs environnementaux en cause restent obscurs. Les traitements immunitaires sont couramment utilisés et peuvent réduire les rechutes, tant en termes de gravité (stéroïdes, administrés en phase aiguë) que de fréquence (interférons, glatiramère et, plus récemment, divers anticorps monoclonaux, administrés régulièrement). Cependant, les traitements immunitaires n’ont aucun impact sur les patients souffrant d’un handicap progressif et les déficits continuent de s’accumuler sans relâche.
Frequently asked questions about Autism & Stem Cell Therapy
- Les vaccins ou d'autres facteurs environnementaux sont-ils à l'origine de l'autisme ?
Rien ne prouve que les vaccins provoquent l’autisme, mais il est de plus en plus évident que l’autisme n’est pas seulement une maladie génétique ou héréditaire, mais qu’il peut en fait être provoqué par des facteurs environnementaux. Par exemple, l’exposition au bisphénol A fait actuellement l’objet d’études visant à déterminer son impact en tant que facteur causal de l’autisme
12
- Y a-t-il une limite d'âge pour commencer une thérapie à base de cellules souches pour l'autisme ?
- Comment fonctionne la thérapie par cellules souches pour l'autisme ?
La thérapie par cellules souches pour l’autisme utilise les capacités régénératrices et modulatrices des cellules souches pour traiter les facteurs neurologiques et immunitaires associés à l’autisme.
Les cellules souches, principalement dérivées du sang du cordon ombilical, sont pluripotentes, ce qui signifie qu’elles peuvent se développer en différents types de cellules, y compris les neurones. La thérapie vise à :
- Remplacer les neurones endommagés: Les cellules souches se différencient en neurones, ce qui peut permettre de réparer des lésions neurologiques.
- Réduire l’inflammation du cerveau: Les cellules souches modulent les réponses immunitaires, réduisant ainsi l’inflammation dont on pense qu’elle contribue à l’autisme.
- Améliorer la connectivité cérébrale: L’amélioration de l’absorption des nutriments et de la neurovascularisation favorise un meilleur fonctionnement du cerveau, ce qui contribue à l’amélioration du comportement et de la cognition.
Les études cliniques suggèrent des améliorations dans des domaines tels que l’interaction sociale, la communication, l’hyperactivité et la régulation de l’humeur, bien que les résultats soient variables. Des recherches sont en cours pour mieux comprendre l’efficacité et l’innocuité de cette thérapie.
- Combien de temps faut-il pour que la thérapie par cellules souches pour l'autisme fonctionne ?
Le plus souvent, l’effet initial est obtenu en 3 à 6 mois et l’amélioration se poursuit au cours des 1 à 2 années suivantes. Il est arrivé que des parents remarquent une différence quasi immédiate ou perceptible en l’espace de deux semaines, mais cette différence ne doit pas être considérée comme typique ou attendue.
- Qu'est-ce que l'autisme ?
L’autisme est un trouble du développement neurologique caractérisé par différents symptômes sociaux et comportementaux. La cause exacte de l’autisme n’est pas encore entièrement comprise, mais on a suggéré une combinaison de prédisposition génétique et d’une insulte ou d’une lésion cérébrale périnatale survenant au moment de la naissance. Les enfants autistes présentent généralement une combinaison de problèmes sociaux et comportementaux, notamment des aptitudes sociales et de communication réduites, des comportements répétitifs ou restreints – y compris des paroles et des mouvements répétitifs stéréotypés -, une ritualisation de la routine et un mépris des changements, ainsi qu’une réactivité anormale à différents stimuli sensoriels (par exemple, le bruit et la lumière).
L’autisme est généralement associé à d’autres caractéristiques susceptibles de nuire à la fonctionnalité de l’enfant, notamment l’irritabilité, l’agressivité, l’hyperactivité, l’insomnie et différents troubles de l’humeur tels que la dépression ou l’anxiété (1, 2).
L’autisme serait dû à un mélange de prédisposition génétique et de lésions cérébrales inflammatoires ou à médiation immunitaire (3).
Il a également été prouvé que l’autisme s’accompagne de nombreuses pathologies comorbides qui contribuent à l’aggravation des comportements et de la socialisation, notamment des troubles gastro-intestinaux (ex. constipation chronique), des troubles métaboliques, des problèmes de sommeil, des crises d’épilepsie, des problèmes de nutrition et d’alimentation sélective, ainsi que des troubles psychologiques (4).
- Quels sont les traitements actuels de l'autisme ?
Malgré les nombreuses avancées visant à diagnostiquer l’autisme plus tôt afin de permettre une prise en charge rapide et d’offrir une meilleure qualité de vie aux enfants et aux adultes vivant avec cette maladie qui dure toute la vie, il n’y a pas eu beaucoup de progrès dans le traitement de ses principales caractéristiques. Les traitements actuels visent uniquement à atténuer les comportements défavorables tels que l’irritabilité et l’agressivité, et à permettre aux enfants d’atteindre leur plein potentiel en ce qui concerne leurs capacités cognitives et sociales. Les traitements couramment utilisés sont la thérapie psychologique, la thérapie nutritionnelle et, dans les cas de résistance extrême, la pharmacothérapie (2, 5) :
Psychothérapie/Thérapie comportementale
Il s’agit de différentes approches de traitement psychologique et éducatif qui visent à renforcer les comportements positifs et à réduire les comportements indésirables. L’analyse appliquée du comportement (ABA) est une approche couramment utilisée dans l’autisme. L’ABA implique certaines interventions psychologiques qui visent à renforcer les comportements positifs en établissant un système de récompense et à inhiber les comportements indésirables en établissant une conséquence active ou passive. Ce processus est répété tout au long des séances afin de « façonner » le comportement de l’enfant autiste. On estime que cette méthode améliore les caractéristiques sociales et comportementales des enfants autistes lorsqu’elle est utilisée tôt, certains enfants montrant une amélioration visible de leur QI. Cependant, ces séances prennent beaucoup de temps et le degré d’amélioration varie d’un enfant à l’autre en fonction de la gravité de son autisme (2, 5).Pharmacothérapie (traitement médical)
Les médicaments peuvent être utilisés pour traiter les comportements qui n’ont pas répondu à la psychothérapie, notamment l’agressivité, l’anxiété, l’hyperactivité ou l’irritabilité. Parmi les médicaments couramment utilisés, on trouve des médicaments utilisés dans différentes pathologies psychologiques (2, 5) :- Antipsychotiques (ex. rispéridone et aripiprazole) : Il a été prouvé que ces médicaments améliorent l’irritabilité et l’impulsivité. Cependant, ils sont souvent associés à de multiples effets secondaires qui nécessitent une extrême prudence, en particulier pour la tranche d’âge à laquelle ils s’adressent.
- Antidépresseurs (ex. fluoxétine) : Certaines études ont démontré que les antidépresseurs améliorent l’irritabilité et les comportements répétitifs associés à l’autisme.
- Stimulants (ex. méthylphénidate et atomoxétine) : Ils sont particulièrement bénéfiques pour les enfants autistes présentant des symptômes coexistants de TDAH et d’hyperactivité et/ou de distraction constante.
Thérapie nutritionnelle
Il s’agit de régimes dont il a été prouvé qu’ils améliorent les symptômes associés à l’autisme. Les régimes cétogènes et les régimes sans gluten font partie des régimes les plus couramment utilisés. L’utilisation de suppléments (par exemple, probiotiques et antioxydants) a également montré une certaine amélioration des symptômes (6, 7).Bien sûr, il existe de nombreux autres traitements et médicaments dont les bienfaits ont été prouvés dans l’autisme, et qui ne sont pas le sujet principal de cet article. Cependant, ils ont tous une chose en commun, à savoir qu’ils sont uniquement symptomatiques par nature – c’est-à-dire qu’ils visent à améliorer les différentes caractéristiques de l’autisme dans une certaine mesure – sans aucun rôle dans le traitement de l’anomalie neurologique d’origine qui a conduit à la présentation autistique. C’est là que la thérapie par cellules souches est apparue comme une option thérapeutique possible, susceptible d’améliorer, voire de réparer, les modifications ou les lésions cérébrales à l’origine des différentes caractéristiques de l’autisme.
- Quelles sont les meilleures cellules souches pour traiter l'autisme ?
À ce jour, il n’existe pas, à notre connaissance, d’étude unique comparant différents types de cellules souches en termes de sécurité et d’efficacité, en particulier dans le cas de l’autisme. Il existe actuellement de nombreux types de cellules souches utilisables dans différentes conditions, notamment les cellules souches embryonnaires, les cellules souches mésenchymateuses (par exemple, les cellules souches de la moelle osseuse et du cordon ombilical), les cellules souches hématopoïétiques, les cellules souches neurales, ainsi que de nombreuses autres sources (8).
Toutefois, si l’on examine d’autres troubles neurodéveloppementaux similaires et différents essais de thérapie par cellules souches, les cellules souches les plus faisables et les plus sûres qui ont été utilisées et testées chez des personnes autistes et dans d’autres conditions neurologiques sont les échantillons dérivés du cordon ombilical, à la fois le sang et le tissu du cordon, et les cellules souches de la moelle osseuse. Ces deux types de cellules fournissent les meilleurs résultats avec le moins d’effets secondaires possibles (8, 9).
Nous avons également testé et publié un article sur la meilleure efficacité de l’utilisation concomitante des deux types d’échantillons de cordon ombilical, les cellules mésenchymateuses du cordon ombilical et les cellules hématopoïétiques du sang du cordon ombilical, tout en maintenant une administration sûre (11). Ces résultats ont contribué à établir notre méthode actuelle d’administration de cellules souches de type double.
- Quelles cellules souches utiliser pour traiter l'autisme ?
Chez Beike Biotechnology, nous utilisons des cellules souches du cordon ombilical pour l’autisme, à la fois des échantillons mésenchymateux liés au cordon ombilical et des échantillons sanguins/hématopoïétiques donnés par des mères en bonne santé après une naissance normale. Comme indiqué précédemment, l’administration concomitante des deux types de cellules souches donne de meilleurs résultats (11).
- Quel est le moment optimal pour une thérapie par cellules souches pour l'autisme ?
L’autisme est généralement diagnostiqué vers l’âge de 3 ou 4 ans. La plupart des études évaluant l’efficacité de la thérapie par cellules souches ont porté sur des patients à partir de l’âge de 3 ans – sans qu’aucun effet secondaire lié à l’âge n’ait été signalé (8-10). En outre, le cerveau humain continue de se développer même après la naissance et jusqu’à la petite enfance ; il a été prouvé qu’une intervention précoce dans différents troubles du développement neurologique – y compris l’autisme – était associée à de meilleurs résultats et à une meilleure qualité de vie. C’est pourquoi nous recommandons généralement de subir la procédure au début de la scolarité (3-7 ans) afin d’obtenir les meilleurs résultats.
Le bénéfice clinique n’est pas garanti à 100 %, comme c’est le cas pour toute intervention, et il est de la plus haute importance de consulter nos spécialistes avant de subir la procédure afin d’obtenir plus d’informations sur celle-ci.
- Quels sont les effets secondaires possibles de la thérapie par cellules souches pour l'autisme ?
Aucun traitement n’est exempt de complications, et il en va de même pour la thérapie par cellules souches. Cependant, malgré sa nouveauté, la thérapie par cellules souches a des effets secondaires limités, si elle est utilisée correctement, avec des effets secondaires généraux comparables à ceux rencontrés lors d’une transfusion sanguine régulière ou d’une transplantation d’organe étranger (par exemple, des réactions allergiques, un rejet de cellule ou de la fièvre). D’autres effets secondaires ont été spécifiquement rapportés dans les essais cliniques testant la thérapie par cellules souches dans l’autisme :
- Maux de tête
- Douleur au point d’injection
- Troubles gastro-intestinaux, y compris nausées et/ou vomissements
- Crises d’épilepsie
- Augmentation initiale du degré d’hyperactivité pendant les trois premiers mois suivant la thérapie par cellules souches
Cependant, aucun des effets secondaires signalés ne mettait la vie en danger ou n’avait de conséquences à long terme, et ils ont pu être facilement traités médicalement au moment où ils se sont produits.
- Facteurs influençant la réponse à la thérapie par cellules souches pour l'autisme
Vous trouverez ci-dessous un résumé des facteurs susceptibles d’affecter votre réponse à la thérapie par cellules souches, ainsi que la manière dont Beike Biotechnology aborde chaque facteur pour s’assurer que nous vous fournissons la plus grande efficacité en utilisant la procédure la plus sûre possible.
- Dose/Nombre de cellules souches : Plus la dose de cellules souches est élevée – dans certaines limites bien sûr – meilleure est la réponse. Chez Beike Biotechnology, nous administrons une dose optimale d’environ 120 à 280 millions de cellules (en fonction du poids de l’enfant) pour l’autisme.
- Voie/méthode d’administration : Des études ont montré que l’injection intrathécale (par ponction lombaire directement dans le LCR du cerveau) fournit une meilleure réponse que la voie intraveineuse traditionnelle (qui fait que les cellules souches se dirigent vers d’autres organes que le cerveau avant d’atteindre ce dernier). Chez Beike Biotechnology, nous utilisons les voies intraveineuse et intrathécale de manière concomitante afin d’obtenir une efficacité maximale, tout en réduisant au minimum les effets secondaires ou la toxicité.
- Type de cellules souches utilisées : Comme indiqué précédemment, les cellules souches issues du cordon ombilical, que nous utilisons à Beike Biotechnology, et les cellules souches issues de la moelle osseuse ont une efficacité mieux prouvée dans l’autisme que d’autres types de cellules souches.
- Moment de la transplantation de cellules souches : Une intervention précoce est cruciale pour les personnes souffrant de différents troubles du développement neurologique, y compris l’autisme. C’est pourquoi nous recommandons une intervention précoce pendant les premières années d’école (entre 3 et 7 ans).
- Durée du suivi : Les avantages significatifs de la thérapie par cellules souches commencent à apparaître environ trois mois après la thérapie, et la plupart des personnes atteignent leur plein potentiel environ 6 à 12 mois après le traitement. Chez Beike Technology, même après votre sortie de l’hôpital, nous vous proposons un programme de suivi complet qui commence dès un mois et se poursuit jusqu’à un an après la transplantation. Vous avez un accès complet à notre équipe professionnelle même après avoir quitté notre centre.
References
- N. Scolding. Adult stem cells and multiple sclerosis. Cell Prolif., 2011, 44 (Suppl. 1), 35–38.
- Dimitrios Karussis, MD, PhD; Clementine Karageorgiou, MD; Adi Vaknin-Dembinsky, MD, PhD et al. Safety and Immunological Effects of Mesenchymal Stem Cell Transplantation in Patients With Multiple Sclerosis and Amyotrophic Lateral Sclerosis. Arch Neurol. 2010;67(10):1187-1194.
- Antonio Uccellia, and Gianluigi Mancardia. Stem cell Transplantation in multiple sclerosis. Current Opinion in Neurology 2010, 23:218–225.
- Dimitrios Karussis, Ibrahim Kassis. The potential use of stem cells in multiple sclerosis: An overview of the preclinical experience. Clinical Neurology and Neurosurgery 110 (2008) 889–896.