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Les cellules souches peuvent-elles aider dans l’infirmité motrice cérébrale?

⏲️Temps de lecture : 18 minutes

Avant d’entrer dans les détails de comment et pourquoi , on va d’abord répondre  à la question la plus importante sur le traitement par les cellules souches ( le traitement par les cellules souche encore appelé la greffe des cellules souches) peut-il vous aider  dans l’infirmité motrice cérébrale? Oui, oui ça peut. Sera-t-il capable de guérir complètement l’infirmité motrice cérébrale? Non. Cependant, pour comprendre comment nous en sommes arrivés à cette réponse («nous», c’est-à-dire la science dans son ensemble, et en particulier le traitement par les cellules souches), il est important de comprendre la physiopathologie de l’infirmité motrice cérébrale, et encore plus connaitre mieux les cellules souches et leurs mécanisme d’action. Pour enfin  comprendre comment la thérapie par les cellules souches peut aider les personnes atteintes de IMC.
Passons à :

  1. Qu’est-ce que l’infirmité motrice cérébrale?
  2. Qu’est-ce qui il cause l’infirmité motrice cérébrale? 
  3. Comment l’IMC se manifeste? 
  4. Comment traiter la IMC ? 
  5. C’est quoi les cellues souches?
  6. Les cellules souches embryonnaire et les cellules souches adulte 
  7. Les cellules souches et IMC
  8. Où sont -nous aujourd’hui ? 
  9. L’étude des cas
  10. Conclusion

Qui ce que l’infirmité motrice cérébrale

L’infirmité motrice cérébrale est un terme général désignant de nombreux symptômes possibles résultant des lésions du cerveau en développement dans les hémisphères cérébraux, qui contrôlent le mouvement, la parole, l’apprentissage, etc. Cette lésion cérébrale est acquise avant, pendant ou peu après la naissance et elle est considérée comme non progressive. Les symptômes peuvent inclure, entre autres, la faiblesse musculaire, les problèmes généraux du contrôle moteur, l’alimentation, la déglutition, la coordination et même les problèmes de fonction cognitive.1 Il existe de nombreuses causes possibles qui peuvent être combinées pour provoquer les symptômes ressentis par une seule personne.
Il est important de comprendre que deux patients atteints d’infirmité motrice cérébrale ne souffrent pas exactement de la même manière.

Qui sont les causes de l’infirmité motrice cérébrale

Un certain nombre de causes pourraient entraîner les symptômes de l’IMC. Parmi les causes possibles et les facteurs qui contribuent à l’IMC  on peut citer :
• le cerveau se développe d’une manière inhabituelle
• les gènes eux-mêmes connaissent des changements qui affectent le développement des cellules du cerveau
• infections qui se produisent pendant la grossesse
• blessure physique causant des lésions cérébrales avant, pendant ou après la naissance
• Complications à la naissance prématurée
• Maladie critique à la naissance (conscience subnormale, crise convulsive, etc.)
• Une pénurie ou un manque total d’oxygène au cerveau pendant ou un peu après la naissance (hypoxie / anoxie)
• Ictère néonatal et ictère nucléaire

Comment l’IMC se manifeste

De nombreuses cellules du cerveau sont impliquées dans la fonction neurologique permettent au cerveau et au reste du corps de communiquer correctement. Des neurones, des astrocytes, des micro-gliales , des oligodendrocytes, des cellules épendymales et bien d’autres sont nécessaires pour établir ces connexions. La façon dont la paralysie cérébrale se manifeste peut être le résultat d’une lésion de l’une ou de la totalité de ces cellules, et peut dépendre de la région du cerveau touchée. La paralysie cérébrale peut toucher tout le corps, y compris la parole, les fonctions motrices et cognitives, ou uniquement les jambes (paraplégie / paraparésie) ou un côté du corps (hémiplégie / hémiparésie), mais la liste n’est pas complète. Les effets physiques peuvent être classés en quatre formes principales, voir ci-dessous:

Au-delà de ces zones du corps que l’IMC  peut toucher, il peut également être classé dans la manière dont il affecte ces zones. Cette classification se présente sous trois formes principales:

 

  1. Spastique 2: il s’agit de la forme la plus couramment observée, dans laquelle le tonus musculaire est augmenté, amenant les muscles à se sentir raides et les mouvements saccadés.
  2. Dyskinésie: cette forme provoque des mouvements involontaires qui peuvent être tordus, répétitifs, lents ou imprévisibles. Cela affecte 10-15% des cas qui peut être très grave
  3. Ataxique: cette forme est caractérisée par des mouvements tremblants pouvant causer des problèmes d’équilibre, de coordination, de positionnement spatial, de posture et même de contrôle des mouvements des yeux. 5% des patients atteints de paralysie cérébrale en souffrent. 
  4. Tout mélange de ces trois formes est également possible.
    Le diagnostic est généralement déterminé après que les médecins ont examiné une IRM du cerveau du patient associée aux symptômes observés. Le patient est également suivi tout au long de son enfance pour surveiller le rythme des étapes importantes du développement telles que ramper et marcher.

 

Comment traiter l’infirmité motrice cérébrale

Pour l’instant, il n’y a pas de remède pour l’IMC. Les thérapies qui traitent l’IMC ont pour but d’atténuer et de rendre les symptômes plus faciles à gérer, en particulier rendre la communication moins difficile. On peut aider dans l’amélioration de certain nombre de symptômes de la maladie, parce que un patient atteint de paralysie cérébrale doit consulter un certain nombre de médecins de spécialité différentes.
Il existe des médicaments pour les patients qui ont besoin de relâcher leurs muscles lourds et de résoudre certains problèmes d’alimentation des bébés. La physiothérapie et l’ergothérapie peuvent aider à améliorer la mobilité du patient ou sa capacité à effectuer des tâches quotidiennes, et l’orthophonie peut être utilisée pour améliorer les compétences de communication. Dans la plupart du temps, la thérapie et les médicaments sont considérés comme des actes positives pour gérer la maladie, mais comme dans tous les domaines de la médecine, il existe toujours des incertitudes et des désaccords à propos de quoi faire et quand il faut agir . Cependant, l’un des traitements le plus nouveaux et le plus prometteurs est celui du traitement par les cellules souches.

C’est quoi les cellules souches

Notre corps humain est composé d’environ 200 types de cellules différentes, telles que : les cellules de la peau, du sang et les cellules musculaires3. Ces cellules spécialisées ont des rôles et des responsabilités uniques dans notre corps, mais elles ne peuvent pas générer de nouvelles cellules identiques en cas de besoin4. Cependant, le rôle des cellules souches consiste à générer de nouvelles cellules spécialisées , ce qui permet la guérison et la croissance.
Les cellules souches sont capables non seulement de se répliquer en elles-mêmes, mais aussi elles sont capables de se transformer  en n’importe quelle cellule nécessaire dans la zone désignée de notre corps (définie ci-dessous) .5 Les scientifiques espèrent utiliser ce potentiel des cellules souches pour aider à remplacer ou réparer les tissus et les nerfs endommagés.
Cependant, il existe différents types de cellules souches, qui sont définies à la fois par leur capacité à se développer et par leur origine, mais ces deux caractéristiques sont étroitement liées. Le type de cellule le plus puissant est celui de l’œuf fécondé elles sont décrites comme totipotents, car elles peuvent se transformer en différentes types de cellules , créant finalement un être humain. Les cellules qui suivent sont les cellules souches pluripotentes, car elles peuvent se diviser en tous les types de tissus humains, mais elles ne peuvent pas créer un organisme entier . Après les cellules souches pluripotentes, on trouve les cellules souches multipotentes, qui peuvent se diviser et créer une gamme spécifique de types de cellules. Les cellules souches oligopotentes, similaires aux cellules multipotentes, sont capables de se différencier en un nombre limité de types de cellules similaires. Enfin, il existe des cellules souches unipotentes qui, comme leur nom l’indique, ne peuvent se différencier qu’en un seul type de cellule.
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Les cellules embryonnaires et les cellules souches adultes

Définies par leur origine, les cellules souches peuvent être divisées en deux groupes généraux. La première est constituée de cellules souches embryonnaires, de nature pluripotente, ce qui signifie qu’elles peuvent se transformer en cellules qui contribueront à n’importe quel type de tissu. Ce sont des cellules souches très puissantes qui peuvent se répliquer en un nombre illimité de fois et qui se différencient en presque toutes les cellules du corps humain. En théorie, et en termes de recherche et de la médecine, ce type de cellule souche détient le plus grand potentiel. Cependant, dans la pratique, les cellules souches embryonnaires ont causé beaucoup de problèmes dans le monde médical. Un gros problème est l’éthique, car pour obtenir des cellules souches embryonnaires, il faut un embryon, qui nécessitait jusqu’à présent le prélèvement de tout le blastocyste (terme qui désigne l’embryon après le cinquième jour, alors qu’il est généralement composé de 70 à 100 cellules) , au lieu de prendre quelques cellules et de laisser les autres continuer à grandir. Bien sûr, prendre tout l’embryon, c’est prendre ce qui aurait pu être une vie humaine, ce que beaucoup jugent contraire à l’éthique. Mis à part l’éthique, toutefois, un autre problème important lié aux cellules souches embryonnaires est qu’une fois qu’elles sont retirées de l’embryon, elles semblent perdre de vue l’objectif final. Chargés de créer un bébé, ils poursuivent parfois cet objectif, mais de manière plus confuse. En conséquence, ils continuent à se multiplier et à se régénérer sans fin, créant une masse déroutante de différents types de tissus appelée tératome. Lorsqu’ils sont utilisés en tant que traitement, ils peuvent créer de grosses tumeurs qui font beaucoup plus de mal que de bien.8 En fait, la plupart (sinon la totalité) des complications liées au traitement des cellules souches résultent de l’utilisation de cellules souches embryonnaires. Cela a malheureusement créé une réputation imméritée pour toute la communauté des cellules souches.

L’autre groupe de cellules souches est constitué de cellules souches adultes (également appelées cellules souches somatiques), qui nous accompagnent tout au long de notre vie. Elles peuvent être multipotentes, oligopotentes ou unipotentes et peuvent se diviser en n’importe quel type de cellules pouvant être nécessaires dans un tissu spécifique.9 Leur rôle est de maintenir et de réparer le tissu qui leur est attribué. Jusqu’à présent, ces cellules souches adultes se sont révélées être les plus utiles en matière de traitement pour une raison principale: elles ne partagent pas les risques associés aux cellules souches embryonnaires et se sont révélées parfaitement sûre10. les cellules souches adultes ont une capacité de multiplication limitée13. Aucune étude n’a jamais montré de corrélation entre le traitement par cellules souches adultes et le cancer. Chez Beike, aucun de plus de 22 500 patients traités par les cellules souches de Beike a développé du cancer causé par le traitement par cellules souches. En fait, les chercheurs trouvent actuellement des moyens d’utiliser certaines cellules souches adultes pour cibler les tumeurs cancéreuses et traiter les patients atteints de cancer.14

Les cellules souches et l’IMC

De nombreuses études et des essais cliniques sur les thérapies cellulaires pour l’infirmité motrice cérébrale ont été menées et ils ont montré que les cellules souches étaient efficaces pour améliorer les symptômes de la IMC15. L’une des études les plus impressionnantes à ce jour a été réalisée par l’Université Duke aux États-Unis. Duke a mené une étude randomisée sur 63 enfants atteints de L’infirmité motrice cérébrale avec différentes variétés et sévérités. Les parents des enfants avaient placé les cellules souches du sang de cordon de leur enfant dans une banque de sang après la naissance et, après le traitement des enfants avec leurs propres cellules de sang de cordon, il a été démontré que leur fonction motrice s’était améliorée juste un an plus tard. Ces améliorations étaient meilleures que celles des autres enfants du même âge et de la même condition physique, et meilleures que celles auxquelles on avait administré moins de cellules souches, voire aucune. Une des histoires de ces enfants peut être vue ici. Auteur principal de l’étude, Joanne Kurtzberg, M.D., est directrice du programme de greffe de sang et de moelle osseuse chez Duke et du programme de thérapie clinique et de translation de Robertson. Selon elle, «des recherches antérieures ont montré qu’il était sans danger de recevoir une perfusion de sang de cordon pour les enfants atteints de paralysie cérébrale. Maintenant que nous avons identifié un seuil de dosage, nous planifions d’autres études sur les avantages de doses multiples de cellules, ainsi que sur l’utilisation de cellules de donneur pour les patients dont le sang de cordon n’a pas été stocké. »L’étude a été approuvée par le National. Institute of Health (NIH) et a été publié en 2017. Cela a été considéré comme une percée en médecine, et bien que nous ayons encore beaucoup à apprendre sur le mécanisme détaillé par lequel les patients atteints de PC sont améliorés, nous comprenons comment les cellules souches peuvent restaurer le fonctionnement du cerveau. Il est clair que la fonction neurologique peut et doit s’améliorer, entraînant une amélioration de tous les types de symptômes de PC16. 17L’un des traitements les plus prometteurs en cellules souches provient des cellules souches dérivées du cordon ombilical, y compris les cellules souches mésenchymateuses Cellules souches progénitrices endothéliales (CPE) et autres.18. Ces cellules souches adultes sont capables de se différencier en différents types de cellules, telles que les ostéocytes (os), les chondrocytes (cartilage), les myocytes. (muscle), fibroblastes (tendon / ligament), adipocytes (graisse), cellules étoilées hépatiques (foie), cellules endothéliales (vaisseaux sanguins), toutes les cellules sanguines, tissus conjonctifs, etc. On constate même maintenant que ces cellules créent des neurones et des cellules gliales.19 20 21 22 Ces cellules sont également capables de libérer des produits tels que des cytokines et des facteurs de croissance qui contribuent à la protection des neurones et, lorsqu’elles sont injectées dans le cerveau, peuvent stimuler la réparation par l’organisme cellules neurales endommagées. La collecte de cellules souches à des fins de traitement peut se faire de plusieurs manières. Cela pourrait provenir de graisse, de moelle osseuse, de cordons ombilicaux, etc. Elle peut provenir du corps du patient (autologue) ou d’un donneur (allogène). Pour les patients atteints de PC, la méthode la plus courante d’injection de cellules souches à des fins de traitement consiste soit en une perfusion intraveineuse dans le sang (une intraveineuse), soit en une injection intrathécale au-dessous de la moelle épinière. Alors que les injections intraveineuses sont une distribution plus systémique visant la génération de cellules dans diverses zones du corps, l’injection de la moelle épinière peut aider les cellules souches à atteindre le cerveau mieux23.

Où sommes nous aujourd’hui

Bien qu’il y ait beaucoup d’espoir et d’enthousiasme autour de la thérapie par cellules souches, les essais cliniques sont encore en cours de rattraper la bataille médiatique. de nombreux essais cliniques  montrent l’innocuité  et l’efficacité des cellules souches25 ont déjà été publiés24, Une étude récente (2018) a évalué  l’efficacité de la perfusion des cellules souches mésenchymateuses dans le sang de cordon ombilical d’un patient paralysé dans cette étude ils ont utilisé les CSM-CSM dérivés du sang de cordon ombilical humain (hUCB), ces cellules ont une immunogénicité  faible ainsi qu’une capacité immunosuppressive (ce qui signifie qu’elles sont moins susceptibles de reproduire une réponse immunitaire) et ils ont un taux de prolifération plus élevé et leur utilisation rencontre moins de dilemmes éthiques .

Etant donné que la thérapie par les cellules souches et la réadaptation ont montré des résultats positifs et qu’elles  sont l’option la plus couramment privilégiée, leur  combinaison a également été utilisée dans cette étude. Les graphiques illustrant les modifications du score GMFM-88 (mesure de la motricité globale) (outil de mesure de la gravité de l’infirmité motrice cérébrale en termes de fonction motrice) et du score de l’évaluation fonctionnelle complète (CFA) (mesure plus complète incluant la connaissance et la compréhension). ) peut être vu dans les graphiques ci-dessous.

Les graphiques montrent que l’échelle de mesure plus complète, la CFA, présente des améliorations plus marquées, nous indiquant que les cellules souches ont également une influence importante sur la fonction cognitive:

L’étude complète est disponible ici. Une autre étude réalisée par la Sung Kwang Medical Foundation en 2011 a révélé l’efficacité des traitements à base de cellules souches pour les enfants atteints d’ IMC. Ils ont étudié trois groupes d’enfants atteints de IMC: un groupe recevait une thérapie de rééducation uniquement, un autre recevait un traitement de rééducation avec de l’érythropoïétine (un médicament prometteur dans le traitement de la IMC) et un groupe recevait une thérapie de rééducation, de l’érythropoïétine et des injections de cellules souches du sang de cordon. L’étude a montré que les patients ayant reçu des traitements à base de cellules souches présentaient les améliorations cognitives et motrices les plus importantes26. D’autres études sont encore en cours ou en cours d’évaluation et devraient fournir plus de preuves pour être  utiliser  dans future dans le cadre de la thérapie par lesd cellules souches.

Cas d’étude

Pour le traitement par les cellules souches , parmi nos 22 500 patients et plus, un grand nombre de patients atteints de l’infirmité motrice cérébrale ont rejoint notre programme de traitement. Nos résultats pour l’IMC sont visibles dans les deux graphiques ci-dessous. Le premier montre les améliorations à six mois après la sortie du patient, mesurées à l’aide des symptômes les plus courants rencontrés par les patients atteints de l’IMC. Bien sûr, tous les symptômes ne s’appliquent pas à tous les patients; les chiffres peuvent donc être différent selon les symptômes.

nous souhaitons également mesurer l’impact de la qualité de vie de nos patients , comme indiqué ci-dessous:  


Pour mieux cerner l’histoire de nos patients, voici deux patients traités par cellules souches et leurs témoignages:

Renzo Centurion:

Renzo a été diagnostiqué de l’infirmité motrice cérébrale suite a une hypoxie (manque d’oxygène à la naissance), provoquant une hémiparésie du côté droit. il a 6 ans et il est toujours incapable de s’habiller ou de bouger son bras et sa main droite. Après avoir reçu des cellules souches par injection intraveineuse, il a commencé à remarquer des améliorations après seulement 15 jours. Maintenant, il a beaucoup plus de contrôle sur son côté droit et peut tenir un verre d’eau et écrire. Il peut s’habiller, lever les bras au-dessus de la tête et son endurance a suffisamment augmenté pour pouvoir marcher deux ou trois kilomètres. regarder ses améliorations dans la vidéo ci-dessous:

Flynn Rigby:

Flynn est né à 23 semaines et demi, ce qui est extrêmement immature,  sa motricité fine et sa parole est affecté . À l’âge de 9 ans, il était toujours incapable de parler jusqu’à son premier traitement par les cellules souches.  il a commencé à parler, et sa motricité est améliorée  mais aussi  la compréhension , la lecture et ses interactions sociales. Voir les progrès de Flynn ci-dessous:

Conclusion 

L’infirmité motrice cérébrale est une maladie qui touche un grand nombre de personnes. Les données montrent qu’elle se situe entre 2 et 3 personnes sur 1 000. Elle peut affecter les personnes de façon partielle, presque imperceptible, ou peut être débilitante. Bien que cette maladie soit actuellement incurable, les cellules souches offrent un espoir à des personnes qui, autrement, n’en auraient pas. Les recherches et les traitements en cours ont mis en jour le potentiel des cellules souches en tant que méthode de traitement, car nous savons qu’elles peuvent aider et aident réellement les personnes atteintes de l’IMC. Cependant, comme nous ne comprenons pas complètement le mécanisme d’action des cellules souches, des recherches ultérieures nous aideront à comprendre ce système ce qui va permettre de trouver les  moyens de libérer le potentiel des cellules souches pour mieux aider les patients.

Pour en savoir plus sur le traitement de l’IMC par  les cellules souches , veuillez cliquer ci-dessous pour une consultation gratuite.

Références

  1. Intravenous grafts recapitulate the neurorestoration afforded by intracerebrally delivered multipotent adult progenitor cells in neonatal hypoxic-ischemic rats
  2. Umbilical cord blood cells and brain stroke injury: bringing in fresh blood to address an old problem
  3. Marrow stromal cells migrate throughout forebrain and cerebellum, and they differentiate into astrocytes after injection into neonatal mouse brains
  4. Human cord blood transplantation in a neonatal rat model of hypoxic-ischemic brain damage: functional outcome related to neuroprotection in the striatum
  5. Li Huang, Che Zhang et al (2018). A Randomized, Placebo-Controlled Trial of Human Umbilical Cord Blood Mesenchymal Stem Cell Infusion for Children With Cerebral Palsy. Cell Transplantation (2018) Vol. 27(2) 325-334
  6. F. Ramirez, ET AL. Umbilical Cord Stem Cell Therapy for Cerebral Palsy. Med Hypotheses RES 2006.3: 679-686.
  7. James E Carroll & Robert W Mays. Update on stem cell therapy for cerebral palsy. Expert Opin. Biol. Ther. (2011) 11.
  8. David T. Harris. Cord Blood Stem Cells: A Review of Potential Neurological Applications. Stem Cell Rev (2008) 4:269–274.